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Strabon. Géographie. Tome XV, Livre XVII. 2e partie: L’Afrique de l’Atlantique au golfe de Soloum

Benoît Laudenbach, Jehan Desanges (ed., trans., comm.)
Collection des Universités de France. Série grecque, 504. Paris : Les Belles Lettres, 2014. xxviii, 262 p.
ISBN 9782251005881

Strabon

http://www.lesbelleslettres.com/livre/?GCOI=22510100009330&fa=description

Le présent volume constitue le dernier tome de la Géographie de Strabon, dont l’édition est prévue en deux fascicules – le premier sera publié ultérieurement. Ce second fascicule contient donc le chapitre 3 du livre XVII qui vient conclure l’œuvre. Faisant suite aux pays du Nil (Égypte et Éthiopie, XVII 1-2), il s’agit d’une description de la Libye antique, troisième continent connu au Ier s. de notre ère, c’est-à-dire la côte d’Afrique du Nord de l’Atlantique au golfe de Soloum, avec une évocation de l’arrière-pays. Réalisant une synthèse des œuvres d’Ératosthène, Artémidore et Posidonius, qu’il n’hésite pas à confronter et à critiquer, Strabon passe ainsi successivement en revue, de façon plus ethnographique que topographique, la Maurousie, la Masaesylie, la Massylie ; puis le territoire de Carthage – avec un long développement sur la 3ème Guerre Punique –, la Grande Syrte et la Cyrénaïque, étudiée essentiellement à travers sa principale production, le silphium, et ses grands hommes.

A l’échelle de l’ensemble des dix-sept livres la Géographie, ce continent est réduit à la portion congrue, comme de coutume chez les Anciens, et il n’a pas l’avantage, comme l’Égypte, d’avoir été visité par l’auteur. Malgré tout, il faut enfin concéder à Strabon, homme d’étude mais possédant des amis romains de haut rang, la capacité de mettre ses connaissances à jour : certaines informations de ce chapitre sont primordiales pour la datation de l’ensemble de l’œuvre. Dans les derniers paragraphes, Strabon évoque l’hégémonie des Romains et expose, dans un tableau d’un grand intérêt historique, l’organisation par Auguste de l’Empire romain. Cette énumération des provinces romaines permet à l’auteur à la fois de clore sa Géographie universelle en récapitulant la majeure partie du monde habité décrit dans les livres précédents, et de faire un éloge, discret mais réel, de Rome et d’Auguste. C’est également une manière de montrer que la géographie est nécessaire à l’histoire : après tout, Strabon avait conçu sa Géographie comme un complément à ses Commentaires Historiques, aujourd’hui en grande partie perdus.

Le texte grec, établi par Benoît Laudenbach, a fait l’objet d’une nouvelle collation des manuscrits dans l’esprit des volumes de la série précédemment parus, y compris un important palimpseste directement consulté au Vatican. Il est assorti d’une traduction française originale. Dans la notice qui les précède, Jehan Desanges revient brièvement sur la date de rédaction du livre, son plan et les sources de l’auteur. Il a surtout accompagné le texte d’un commentaire approfondi, mettant à contribution tous les outils de la philologie et de la géographie historique les plus récents (intertextualité, archéologie, épigraphie, etc.). L’ensemble est augmenté d’index toponymiques et anthroponymiques, et devrait contenir une carte des lieux nommés dans le texte.

Jehan Desanges (commentaire)

Agrégé de grammaire (1953), après onze ans passés en Afrique du Nord et au Sénégal, il enseigne vingt ans à l’Université de Nantes (1964-1984) et vingt-cinq ans à la IVe Section de l’Ecole pratique des Hautes Études (1978-2003, Histoire de l’Afrique dans le monde gréco-romain). Depuis 2012, il est membre de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres.

Sa bibliographie, dont le premier titre date de 1956, porte tant sur l’Afrique du Nord que sur l’Afrique nilotique et érythréenne dans l’Antiquité. Il a orienté ses recherches vers les structures tribales et les révoltes autochtones tout comme les campagnes militaires et expéditions lointaines menées par les Lagides et les Romains. Il s’est de plus adonné à l’étude de la géographie historique et de la toponymie comme à celle du peuplement (en particulier le peuplement dit éthiopien) ou des structures et découpages administratifs. Il a établi des éditions critiques et commentées ou, au moins, des études minutieuses de sources essentielles de l’Afrique antique, notamment celle du livre VI de l’Histoire naturelle de Pline l’Ancien dans la collection des Université de France.

Benoît Laudenbach (édition critique, traduction)

Agrégé de Lettres classiques (2003) et docteur en Études grecques de l’Université Paris-Sorbonne (2012), Benoît Laudenbach est actuellement professeur dans le secondaire. Helléniste et papyrologue de formation, toutes ses recherches universitaires se sont orientées sur l’édition critique et la traduction de textes et documents grecs (Les lettres de Chion d’Héraclée, traduction et commentaire, Université Rennes II ; Les Epigrammes de Posidippe de Pella (P. Mil. Vogl. VIII 309), critique de l’editio princeps, traduction, commentaire, Université de Strasbourg ; Mondes nilotique et libyque : Strabon, Géographie, XVII, Université Paris-Sorbonne). Le présent volume est le résultat d’une partie de sa thèse consacrée au livre XVII de la Géographie de Strabon.

Mastering the West: Rome and Carthage at War. Ancient warfare and civilization

Dexter Hoyos
Oxford; New York: Oxford University Press, 2015. Pp. xxi, 337.
ISBN 9780199860104

Hoyos

https://global.oup.com/academic/product/mastering-the-west-9780199860104?cc=de&lang=en&#

To say the Punic Wars (264-146 BC) were a turning point in world history is a vast understatement.
This bloody and protracted conflict pitted two flourishing Mediterranean powers against one another, leaving one an unrivalled giant and the other a literal pile of ash. To later observers, a collision between these civilizations seemed inevitable and yet to the Romans and Carthaginians at the time hostilities first erupted seemingly out of nowhere, with what were expected to be inconsequential results.
Mastering the West offers a thoroughly engrossing narrative of this century of battle in the western Mediterranean, while treating a full range of themes: the antagonists’ military, naval, economic, and demographic resources; the political structures of both republics; and the postwar impact of the conflicts on the participants and victims. The narrative also investigates questions of leadership and the contributions and mistakes of leaders like Hannibal, Fabius the Delayer, Scipio Africanus, Masinissa, and Scipio Aemilianus. Dexter Hoyos, a leading expert of the period, treats the two great powers evenly, without neglecting the important roles played by Syracuse, Macedon, and especially Numidia.
Written with verve in a clear, accessible style, with a range of illustrations and newly-commissioned maps, Mastering the West will be the most reliable and engaging narrative of this pivotal era in ancient history.

Table de matières:
PART ONE
ROME AND CARTHAGE: 264 BC
1. Two Republics
2. Warfare
PART TWO
THE FIRST PUNIC WAR AND AFTERMATH: 264-218
3. Sicily and its Seas, 264-257
4. Africa and after: 256-249
5. Stalemate and Checkmate: 249-241
6. Between the Wars: 241-218
PART THREE
THE SECOND PUNIC WAR: 218-201
7. Hannibal’s invasion, 218-211
8. The War beyond Italy
9. Scipio and Roman Victory: 210-201
PART FOUR
THE LAST CONFLICT
10. Rome, Masinissa, and Carthage
11. The Triumph of Rome
Conclusions
Appendix 152
the sources

Compte Rendu par Fred K. Drogula: http://bmcr.brynmawr.edu/2015/2015-09-40.html

Africa: patterns of consumption in coastal regions versus inland regions. The ceramic evidence (300-700 a.D.)

Michel Bonifay
in: L. Lavan (ed): Local Economies? Production and Exchange of Inland Regions in Late Antiquity, 2015, 529 – 566

Abstract from http://booksandjournals.brillonline.com/content/journals/10.1163/22134522-12340041:
Using ceramic evidence, this paper examines the differences between the supply of coastal and inland regions of Africa from the 4th to 7th c. A.D. While a narrow band of coastline across the Mediterranean seems to be fully integrated into a common system of consumption (e.g. importing overseas amphora and the principal African Red Slip (ARS) forms), most of the inland regions seem to be more impervious to non-regional products (e.g. no transport amphorae and mainly local ARS); this is a situation which is particularly obvious in the Algerian high plains. Nevertheless, an accurate analysis of the documentation allows us to discern some indications of inter-provincial contacts via ancient east-west terrestrial routes.

North Africa

F. Baratte, N. de Chaisemartin
dans: The Oxford Handbook of Roman Sculpture. Oxford handbooks in archaeology, by Elise A. Friedland, Melanie Grunow Sobocinski, Elaine K. Gazda (eds.), Oxford; New York: Oxford University Press, pp. 504-521.

Stèles à inscriptions néopuniques de Maktar, vol. 1 (Corpus des Antiquités phéniciennes et puniques)

M. H. Fantar et M. Sznycer†
Texte révisé, complété et mis en forme par F. Bron, avec des contributions de C. Picard† et C. Fauveaud. Préface par Ch. ROBIN
2015
Mémoires de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, t. LI ; Paris, AIBL. Diff. De Boccard.
ISBN : 978-2-87754-329-3

maktar-2-fcfa9

http://www.orient-mediterranee.com/spip.php?article2855

Ce volume publié avec le soutien de la Leon Levy Foundation (New York) et de l’Union académique internationale (UAI) comprend la publication de 97 stèles néopuniques inscrites provenant de Maktar, trouvées en diverses occasions entre 1887 et la fin du mandat français en Tunisie.
Leur étude par Mhamed Hassine Fantar et Maurice Sznycer† a été menée à terme par François Bron. Certaines sont funéraires ; d’autres, votives, proviennent du tophet ou du temple de Ḥoter Miskar. Les stèles sont décrites, et toutes les inscriptions sont transcrites, traduites et commentées. Le volume comprend également une étude iconographique par Colette Picard.
Ces documents jettent une lumière intéressante sur la culture punique en milieu numide dans les siècles qui ont suivi la destruction de Carthage. Ce premier tome sera suivi d’un deuxième qui comprendra le lot des stèles trouvées lors des fouilles tunisiennes en 1969 dans le soubassement de l’arc romain.

Phönizische, griechische und römische Gottheiten im historischen Wandel

Linda-Marie Günther, Bärbel Morstadt (eds.)
Contextualizing the sacred, 5
Turnhout: Brepols Publishers, 2015. xviii, 159 p.
ISBN 9782503544571

Günther et al

http://www.brepols.net/Pages/ShowProduct.aspx?prod_id=IS-9782503544571-1

This volume explores the diversity of ancient religious practices in the context of wide-ranging cultural contacts between Phoenicians, Greeks and Romans, bringing together the work of leading scholars and young researchers of Ancient History and Classical Archaeology.
The interpretatio of deities is a cultural phenomenon, which is grounded in the well-studied trade and colonisation activities by Greek poleis and the formation of the Roman empire. This phenomenon is traditionally viewed as an expression of the self-acculturation of indigenous groups and as a means of systematically homogenising diversity. The papers in this volume seek more complex and nuanced perspectives based on detailed contextual analyses. They present detailed studies of different features of this vast field of trans-cultural interpretation of Phoenician, Greek and Roman deities in the first millennium BC, ranging from Heracles to Aphrodite and spanning geographically from the Levant to the Iberian peninsula Each case-study focuses on the particular implementation process and evaluates it on its own terms, within its own individual context.

This volume originates in a workshop held at the University of Bochum, Käte Hamburger Kolleg at the Center for Religious Studies “Dynamics in the History of Religions”, in 2010. It comprises seven studies, written by leading scholars as well as junior researchers of Ancient History and Classical Archaeology.

Table of Contents
„Interpretationes” — eine Einleitung — LINDA -MARIE GÜNTHER und BÄRBEL MORSTADT

Die Götter im Vertrag zwischen Hannibal und Philipp V. — YU-JIN LEE

Interpretatio als Mittel der Auseinandersetzung im Zweiten Punischen Krieg — KLAUS ZIMMERMANN

Melqart-Herakles-Kulte im phönikisierten Zypern — BÄRBEL MORSTADT

Von Melqart bis Hercules Gaditanus: Reinterpretationen eines westphönizischen Kultes — DANIEL HÜLSKEN

Die Göttin auf dem Berg Eryx: Astarte — Aphrodite — Venus — CATHRIN SCHMITT

Pferd und Quadriga auf sikulopunischen Münzen: Griechische oder punische Symbolik? — LINDA -MARIE GÜNTHER

Index

Rirha : site antique et médiéval du Maroc. I Cadre historique et géographique général

Laurent Callegarin, Mohamed Kbiri Alaoui, Abdelfattah Ichkhakh, Jean-Claude Roux (éd.)
2016
ISBN 9788490960264
182 pp. 21 x 29,7 cms.
Collection de la Casa de Velázquez, 150

Rirha I

https://www.casadevelazquez.org/es/publicaciones/libreria-en-linea/libro/rirha-site-antique-et-medieval-du-maroc-i/

Localisé à environ 35 kilomètres de l’antique Volubilis, le site de Rirha possède une emprise spatiale d’environ 10 hectares. Occupé de l’époque du royaume maurétanien (Ve siècle av. J.-C.) à la période mérinide (XIVe siècle ap. J.-C.), il est à ce titre un excellent objet d’étude pour apprécier les continuités, les évolutions ou les ruptures dans les modes de vie des habitants de la plaine du Gharb, durant l’Antiquité et le Moyen Âge.
Ce premier volume présente un historique des fouilles et des études complémentaires d’archéologie environnementale, menées par une équipe maroco-française depuis 2004. Celles-ci renseignent sur les pratiques des sociétés historiques et sur leur environnement. Les recherches géomorphologiques ont précisé la paléotopographie du gisement ; les analyses palynologiques, anthracologiques et carpologiques, mettent en évidence les réalités d’une plaine occupée par des marais et des bosquets ripisylves, d’où émergent des cultures céréalières et fruitières dès l’époque maurétanienne ; tandis que l’étude de la faune souligne l’évolution des pratiques associant chasse et produits de l’élevage.

SOMMAIRE
Aperçu général (en arabe)
Présentation

HISTORIQUE DES FOUILLES ARCHÉOLOGIQUES
I. — L’opération de Louis Chatelain (1920-1929)
II. — Le Sondage de Maurice Euzennat de 1955
III. — La mission archéologique franco-marocaine du Sebou (années 1980-1990)
IV. — Une nouvelle mission archéologique à Rirha : une approche rénovée

GÉOMORPHOLOGIE ET TOPOGRAPHIE DE LA RÉGION ET DU SITE
I. — Le cadre naturel
II. — L’évolution de la morphologie du site

L’ENVIRONNEMENT NATUREL ET SON EXPLOITATION AUX ÉPOQUES ANTIQUE ET MÉDIÉVALE
I. — Contribution de l’étude palynologique à la reconstitution du paléoenvironnement
II. — Paléoenvironnement et paléoéconomie d’après l’anthracologie et la carpologie
III. — Caractérisation de l’exploitation des ressources animales de l’époque maurétanienne à l’époque médiévale

CONCLUSION. — PAYSAGES ET PALÉOÉCONOMIE AUX ÉPOQUES ANTIQUE ET MÉDIÉVALE
I. — Les apports de l’analyse géomorphologique
II. — L’approche palynologique et archéobotanique : paysages et activités agro-pastorale
III. — Les apports de l’archéozoologie à la connaissance des pratiques humaines

ANNEXE. — LES ARCHIVES DE FOUILLE DE RIRHA
I. — Documentation conservée au Centre Camille Jullian de la Maison méditerranéenne des sciences de l’homme (Aix-en-Provence)
II. — Documentation conservée au Musée archéologique de Rabat

Rirha : site antique et médiéval du Maroc. II Période maurétanienne (Ve siècle av. J.-C. – 40 ap. J.-C.)

Laurent Callegarin, Mohamed Kbiri Alaoui, Abdelfattah Ichkhakh, Jean-Claude Roux (éd.)
2016
ISBN 9788490960271
218 pp. 21 x 29,7 cms.
Collection de la Casa de Velázquez, 151

 

Rirha

 

https://www.casadevelazquez.org/es/publicaciones/libreria-en-linea/libro/rirha-site-antique-et-medieval-du-maroc-ii/

Localisé à environ 35 kilomètres de l’antique Volubilis, le site de Rirha possède une emprise spatiale d’environ 10 hectares. Occupé de l’époque du royaume maurétanien (Ve siècle av. J.-C.) à la période mérinide (XIVe siècle ap. J.-C.), il est à ce titre un excellent objet d’étude pour apprécier les continuités, les évolutions ou les ruptures dans les modes de vie des habitants de la plaine du Gharb, durant l’Antiquité et le Moyen Âge.
À la période dite maurétanienne, une trame urbaine naissante, de nombreuses structures bâties en brique crue, la présence d’une activité potière et d’artefacts de qualité (céramiques importées et locales, objets en ivoire ou en coquille d’autruche, monnaies massyles et maurétaniennes) militent en faveur d’une agglomération parfaitement connectée avec les réseaux d’échanges méditerranéens et, de façon plus privilégiée, avec la région du détroit de Gibraltar. C’est aux alentours du changement d’ère chrétienne, avant même la conquête claudienne de 41-42 ap. J.-C., que Rirha adopte plusieurs signes de la romanité.

SOMMAIRE
STRATIGRAPHIE ET BÂTI
I. — Le Sondage Ancien 1 : une séquence stratigraphique de référence pour le site
II. — Le niveau maurétanien tardif de l’Ensemble
III. — L’architecture en terre crue

LE FACIÈS CULTUREL DE LA PÉRIODE MAURÉTANIENNE
I. — L’épigraphie prélatine à Rirha et dans ses environs
II. — L’étude du numéraire préromain
III. — Étude préliminaire d’une tête en terre cuite

UN PREMIER APERÇU DU SITE AVANT LA CONQUÊTE CLAUDIENNE
I. — Les origines de l’implantation humaine dans la région de Sidi Slimane
II. — L’évolution du site de Rirha entre les VIIe-VIe siècles av. J.-C. et la première moitié du Ier siècle ap. J.-C.

CONCLUSION. — L’IMPLANTATION HUMAINE À L’ÉPOQUE PRÉROMAINE (VIIe s. av. J.-C. – 40 ap. J.-C.)

ANNEXE I. — CATALOGUE DES MONNAIES
I. — Inventaire des monnaies mises au jour par les opérations du XXe siècle
II. — Inventaire des monnaies issues des campagnes 2005-2012

ANNEXE II. — PROSPECTION DU DOMAINE DU BEHT (2008). INVENTAIRE DU MOBILIER RECUEILLI
I. — Secteur « nécropole »
II. — Secteur « terrasse »

ANNEXE III. — ARCHITECTURE EN TERRE CRUE. PROTOCOLES D’INVESTIGATION SUR LE TERRAIN ET EN LABORATOIRE
I. — La fouille archéologique
II. — Les prélèvements et les analyses micromorphologiques